Ravagée par un incendie criminel le 1er juillet dernier, la Maison de la justice et du droit a dû fermer ses portes. Le bâtiment a été fortement endommagé mais la MJD a tout de même continué à assurer hors les murs certains de ses services.
Les permanences d’accès aux droits ont été délocalisées à la mairie annexe du Jas de Bouffan et celles d’associations telles que Choisir, l’association d’aide aux victimes APERS et de l’AITE au Ligourès, à Encagnane.
Après plusieurs semaines de travaux et de remise aux normes de sécurité, la MJD rouvre ses portes, avec dès la fin janvier la reprise sur site de ses activités d’accueil, d’écoute et de soutien juridique.
Des avocats, le Centre d’information des droits de la famille et de la femme, un conciliateur de justice et plusieurs associations de consommateurs, d’aide à la prévention et la réinsertion sociale y reprennent leurs permanences.